Contexte

En 2014, le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dévoilait les résultats alarmants, particulièrement dans la francophonie, de leur deuxième rapport sur la situation de la santé de la mère, du nouveau-né et de l’enfant dans le monde: les résultats s’avéraient alarmants. Une aggravatation d’après leur premier rapport (SOWMY) dévoilé en 2011.   En effet, selon l’OMS (2018):

En 2017, le gouvernement canadien :

«… adopte une politique d’aide internationale féministe qui vise à éliminer la pauvreté et à bâtir un monde plus pacifique, plus inclusif et plus prospère. Le Canada croit fermement que promouvoir l’égalité des genres et renforcer le pouvoir des femmes et des filles est le moyen le plus efficace pour atteindre cet objectif.»

Dans un contexte des défis que présente la gestion des Ressources Humaines en Santé (RHS), le renforcement des compétences des RHS concernées, directement ou indirectement, par le bien-être des FAF, est essentiel afin d’améliorer la qualité des services. Ceci pourra contribuer à l’atteinte des objectifs du développement durable (ODD) et ce, particulièrement dans les pays de la francophonie subsaharienne. Ces RHS auront également à faire le plaidoyer pour améliorer le statut social,  éducationnel, économique, etc. et l’autonomisation des FAF dans les pays francophones participants.

Ce contenu a été mis à jour le 25 mars 2021 à 19 h 20 min.